L’exclusion sociale des personnes autistes est
un obstacle majeur à leur épanouissement.
Le manque d’opportunités récréatives et
sportives adaptées limite non seulement leur
développement physique, mais aussi leur bienêtre
émotionnel et mental.
Perfectionner les compétences en basket des
jeunes et à collecter des fonds pour les Instituts
Médico-Educatifs (IME), qui soutiennent les
enfants handicapés y compris l’autisme. L’autisme
peut être un handicap invisible.
Le jeu offre détente et
plaisir dans un environnement structuré, aidant à
développer la motricité. Frédéric cite l’exemple de son
fils qui, malgré les prédictions, peut maintenant courir,
nager, faire du vélo et jouer au basket.
La pratique sportive
bénéficie non seulement à l’individu mais aussi à son
entourage. Frédéric souligne l’importance de ne pas
sous-estimer les capacités d’une personne en raison
de son handicap.
Créée il y a 7 ans,
l’association a d’abord organisé des camps pour
des non-handicapés, puis pour des personnes en
fauteuil roulant. L’objectif est de mélanger différents
publics pour que chacun soit perçu comme un sportif.
Ils cherchent maintenant à inclure ceux avec des
handicaps cognitifs, comme l’autisme.
Frédéric Weis est convaincu de la connexion profonde entre le sport et l’autisme, étant lui même père d’un enfant autiste et ancien sportif professionnel